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lundi, 26 janvier 2015

Le chameau et l'aiguille

 

 

 

 

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Caravane passant par le chas d'une aiguille
(12 chameaux mesurant chacun 0,22 mm),
vue à travers un microscope,
au Musée de la Miniature, à Montélimar,

dans la Drôme,
photographie : août 2014.

 

 

dimanche, 25 janvier 2015

Masque de corail

 

 

 

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Masque d'ancêtre en corail fossile,
Culture Atoni, Timor oriental,
exposition « Les Masques, entre miniature et démesure »,
au Musée de la Miniature, à Montélimar,

dans la Drôme,
photographie : août 2014.

 

 

Un petit air de...

 

 

 

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Masque miniature, bois Soko Mutu,
Peuple Hemba, Congo,
exposition « Les Masques, entre miniature et démesure »,
au Musée de la Miniature, à Montélimar,

dans la Drôme,
photographie : août 2014.

 

 

 

samedi, 24 janvier 2015

Une sauterelle jouant du violon

 

 

 

 

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Sauterelle jouant du violon, vue à travers un microscope,
au Musée de la Miniature, à Montélimar,

dans la Drôme,
photographie : août 2014.

 

 

vendredi, 23 janvier 2015

Au dieu de la forêt

 

 

 

 

 

 

Jean Sibelius, Tapiola (1926), dirigé par Neeme Järvi.

 

  

Là s’étendent du Nord les vieilles forêts sombres

Mystérieuses en leurs songes farouches.

Elles abritent la grande divinité des bois

Les sylvains familiers s’agitent dans leurs ombres. 

(Jean Sibelius, à propos de Tapiola)

 

 

Que Tapio, le dieu de la forêt dans la mythologie finlandaise selon le Kalevala, soit réellement présent dans cette musique, et (sans jeu de mots !) tapi au fond d'elle, nous l'entendons dès les premières mesures.

(Nous pénétrons dans la forêt, la demeure de Tapio (Tapiola), pour quelle rencontre ? Cette musique hantée par le dieu, comme immobile, quasi silencieuse, ces blocs de son formidables qui se succèdent, cet orage étale... Je ne connais guère de musique qui incarne autant que celle-ci la catastrophe, dans le sens que ce mot avait dans le théâtre grec. C'est l'une des dernières œuvres achevées du musicien ; il est vrai que la dernière mesure apparaît comme la dernière d'un monde.)

 

 

 

 

Castrum montilium Adhemari

 

 

 

 

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Le château des Adhémar (XIIe-XIVe s.), à Montélimar,
dans la Drôme,
(sur la dernière image, au centre, logis seigneurial, XIIe s.,
et tourelle du logis, XIVe s., l'ensemble étant tout à fait
mon genre)
photographies : août 2014.

 

 

mercredi, 21 janvier 2015

Suze-la-Rousse

 

 

 

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Le château de Suze-la-Rousse (XIIIe-XVIe s.),
dans la Drôme,
photographie : août 2014.

 

 

 

La Librairie de Jean, duc de Berry, au château de Mehun-sur-Yèvre, en 1416 (37)

 

 

 

Introduction.

 

Belles-Lettres

 

Poésie

 

 

« 82. Un livre escript en françois de lettre de fourme, d'Ovide Metamorphorios, couvert d'un cuir vermeil empraint à deux fermoers d'argent doré, tout plains, et les tixus de soye vermeille._30 liv. »

 

« 83. Un petit livre appellé : Ovide Metamorphorios, escript en françois de lettre de court, et glosé en plusieurs lieux, couvert de cuir vermeil empraint et fermant à quatre fermoers de cuivre._30 liv. »

  

« 84. Un livre d'Ovide Métamorphorios, escript en françois rymé, et au commencement du second fueillet a escript : De la Disputoison ; et est couvert de cuir vermeil empraint à deux fennoers d'argent néellés et tixus rouges, garni de plusieurs seigneaulx._25 liv. »

 

 

Il s’agit de L'Ovide moralisé, traduction, en 72000 vers octosyllabiques environ, des Métamorphoses d’Ovide. Cette traduction adaptée anonyme, longtemps (et faussement) attribuée à Philippe de Vitry et à un certain Crestien li Gois, semble avoir été rédigée entre 1317 et 1328, et est dédicacée à Jeanne de Bourgogne, reine de France, épouse de Philippe V le Long.

Charles d’Orléans possédait lui aussi L’Ovide moralisé. (Cf. notice 2, à la fin du billet.)

 

 

(à suivre.)

 

 

 

mardi, 20 janvier 2015

Au loin

 

 

 

 

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Le château de Suze-la-Rousse (XIIIe-XVIe s.),
dans la Drôme,
photographie : août 2014.

 

 

 

Creusé dans la roche calcaire

 

 

 

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Escalier des Cordeliers (XVe s.), menant à la Chapelle des Cordeliers (XVIe),
sans oublier le petit chat,
à Crest,
dans la Drôme,
photographie : août 2014.

 

 

 

lundi, 19 janvier 2015

Chemin des Balcons de la Drôme (« De l'air ! De l'air ! »)

 

 

 

 

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Tour de Crest (Xe-XIVe s), chemin de ronde,
et vue sur le Chemin des Balcons de la Drôme,

photographie : août 2014.

 

 

 

Ombres

 

 

 

 

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Dans la Tour de Crest (Xe-XIVe s.)
dans la Drôme, photographie : août 2014.

 

 

dimanche, 18 janvier 2015

Très haut donjon

 

 

 

 

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La ville et la Tour de Crest (Xe-XIVe s.,
le plus haut donjon d'Europe (52 mètres), avec celui du château de Vincennes),
dans la Drôme, photographie : août 2014.

 

 

Signification en miroir

 

 

 

Il est su depuis longtemps que ce qui infirme, ridiculise ou réduit à néant la plupart des opinions, c'est que celles-ci ne sont propres qu'à leur époque ; cependant, il en est bien souvent de même pour les pensées plus étendues qui voudraient leur faire face, les "hauteurs de vue" qui tentent de s'appuyer sur des livres et des rêves plus anciens que nous : là se brise ou se glace une "contemporanéité" qui se pensait un regard lucide. Cette ombre se perçoit ainsi qu'un flambeau, mais elle ne fait qu'ajouter à la nuit.

 

(Recourir à la nuit, est-ce possible ?)

 

 

 

08:24 Écrit par Frédéric Tison dans Crayonné dans la marge | Tags : frédéric tison, note, opinion, nuit | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

samedi, 17 janvier 2015

Les monts bleutés

 

 

 

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La Drôme, à l'entrée de Crest,
dans la Drôme,

photographie : août 2014.